| Quand Jean-Jacquet était arrivé en nouvelle France elle n'avait pas été longtemps avant qu'il ait découvert que les hivers en France et en Belgique n'avaient été rien comparé aux hivers de la nouvelle France. Pour certains les hiversavaient été trop froids et désirent ardemment aussi, et beaucoup étaient morts. Ils ont dû accepter le froid de l'hiver et la pénurie de la nourriture et des escarmouches occasionnelles avec les Indiens. Au commencement, le Habitants pendant qu'ils s'appelaient a eu wintered dans les secteurs accumulés, que ce soit Sorel ou ville du Québec par exemple, parce que la vie sur le Seigniorial avait été trop difficile pendant les mois froids d'hiver. Les bruits comme lui avaient été quelque chose mais un pique-nique ? L'année est 1665 et Jean-Jacquet était arrivé. Pendant les deux années à venir et pendant les temps tranquilles, il travaillerait la ferme et jusqu'aux champs pour la table du wagon-restaurant du régiment, mais en premier lieu il avait été un soldat dans le régiment de Carignan-Salieres. Il, comme plusieurs des autres soldats avait été logé chez les familles locales, pour fournir la sécurité nécessaire, et une fois pas autrement engagés ils avaient aidé autour de la ferme. Ce n'avait pas été quelque chose nouveau à Jean-Jacquet-Jacquet de Gerlaisse parce qu'il avait grandi dans le DES Hameteaux de Seigneurie où son père avait été le Seigneur. Jean-Jacquet-Jacquet de Gerlaisse avait été né dans la rue Paul-De-Liège, Belgique en 1643. Il avait été le fils de Ferdinand de Gerlaisse, DES Hameteaux "et le beau Dorothée Cona" de Seigneur. Cette dernière phrase indique que le père de Jean-Jacquet's avait été un seigneur féodal ou un propriétaire foncier en Belgique française. La majeure partie du pays de la Belgique avait été sous la monarchie française, et la rue Paul-De-Liège avait été une Principauté.Beaucoup de l'Europe France et de la Belgique avait été guerre déchirée pendant les 16èmes et 17èmes siècles. La rue Paul-De-Liège avait été métier de rechange parce que c'avait été le siège d'Ecclessiastical de l'église et dela maison catholiques aux Prince-Évêques. Jean-Jacquet avait déjà été 'rue Amant de Sieur De 'quand il a eu la Belgique gauche, un titre qu'il n'a pas maintenu ici, pourtant que le titre avait été inclus pour toujours dans ses coordonnées, en tant que rue Amant de dit de Jean-Jacquet..., et dans quelques documents officiels son nom est écrit la rue Amant de Sieur de Gerlaisse ou de Sieur De. Ainsi je continue ; le fils suit dans les marchepieds de son père jusqu'à un point. Ce n'est aucun secret que les guerres avaient infesté la région meilleure de la Belgique pendant le 16ème et 17ème siècle. Alors à l'âge en dix-neufJean-Jacquet avait joint le régiment de Carignan en tant que soldat. Il ne pourrait pas tenir le rang d'un officier parce qu'il n'avait pas été de naissance noble traditionnelle. Quand le régiment de Carignan-Salieres a congédié en 1667,la terre avait été promise à ceux qui resterait en nouvelle France, et Jean-Jacquet plus 300 de ses camarades aux bras était resté. Sous peu ensuite il avait entamé la discussion avec un acquintence appelé Jean Trudel qui avait épousé une dame de l'ascendance de la Belgique, et ensemble ils étaient arrivés à un accord, et avec cette décision prise avait signé uncontrat de mariage. Sa future épouse devait être Jeanne Trudel, qui avait eu onze ans alors. Elle avait été beauté et innocence. Été soutenus en Jeanne 1656 Trudel avaient douze ans de à l'heure de leur union. Ils s'étaient mariés dans le 'parroise de La de L'Ange Guardien 'près du nord-est de Beauport de laque de la ville du Québec. Son épouse avait été le beau Jeanne Trudel, fille en Jean Trudel et gardien de Marguerite Thomas de la Paroisse De L'Ange. Des mariages pendant ces périodes avaient été arrangés au préalable, et des contrats de mariage avaient été signés et des doweries avaient été assignés pour sceller l'affaire. Leur première année de mariage comme ainsi stipulé dans le contrat de mariage ; ils avaient vécu avec ses parents, je doutent de qu'ils avaient même dormi ensemble, en fait je suis sûrs qu'ils n'ont pas eu, au moins pas les premières années. Jean-Jacquet avait toujours accompagné les soldats du régiment qui était resté pour garder le Seigniorial et avait été parti de la maison beaucoup. J'ai fait les calculs et Jeanne a eu son premier enfant à l'âge de dix-sept de 1673, Jean-Jacquet avait eu trente ans. Cette année, 1673, avaitété pivitol dans la vie en Jean-Jacquet. Ce qui était resté du régiment de Carignan-Salieres avait réduit en fragments, et dans sa place avait formé plusieurs petites unités de milice, chacune assignée à un seigneury particulier.1673 est également l'année de leur aîné, Catherine, et c'est également l'année que Jean-Jacquet a engagée avec l''milice ', qui coïncide également avec l'année que son bail avait été finalement approuvé. Trois ans après que Jean-Jacquet s'était marié, Raddisson et Grosseilliers avaient fondé la société de commerce de fourrure de compartiment de Hudsons. Maintenant vous devez vous rappeler les temps, il aviez été l'anglais contre le Français chaque étape de la manière. Ce mouvement avait été précipité parce que ces deux, Raddisson et Grosseilliers avaient été rembarrés par les colons français et par leur patrie de la France. Est-ce que mais c'avait été assez de la raison de cet acte déloyal ? Ils avaient été des Français les ont eus pas ? Comment l'enfer pourraient-ils avoir fait un saut chez les Anglais ? Je me demande parfois quel Jean-Jacquet avait pensé à celui ? Je vraiment, à quoi lemonde signifient-ils venait-il ? Enfin 12 août 1673 l'affaire est scellée et Jean-Jacquet et avec cet investissement a eu le premier colon de Louiseville devenu. Son bail de ferme de sept ans, fermé, avait été élaboré le 27ème bail de July.The avait été élaboré par Messire Francois Dollier de Casson et signé par le seigneurie habitant de Maneruille le 12 août 1674 de rue Amant... de la Riviere-riviere-du-loup-loup de dit de Jean-Jacquet-Jacquet de Gerlaisse. J'ai conduit par le secteur et le Sorel et le Trois-Rivieres visités, et tandis que j'avais conduit par Louiseville les oies de migration Canada avaient couvert les champs voisins. Les itinéraires de migration des canards et des oies s'arrãetent toujours dans ces domaines et est-ce que je me demandais s'ils avaient pendant ce temps pendant trois siècles plus tôt ? Il y avait eu tant d'oies, assez pour alimenter la totalité des règlements français du siècleet de plus du Th17. Il avait été impressionnant. Pendant le 1670s que la société de commerce de fourrure de compartiment de Hudsons a dessiné loin une partie du commerce de fourrure, celle était autrefois allé exclusivement à la rue Laurent. Les escarmouches entre le français et l'anglais avaient escaladé. Ces petites batailles avaient été une partie de la lutte plus grande entre les pays de parent de la France et l'Angleterre. Par le milieu du 17ème siècle il y avait eu de seuls 25000 colons français par rapport aux 80.000 Anglais. Pendant ce point dans l'histoire, la partie occidentale de cette grande terre avait toujours appartenu à l'Américain du nord Indian.But qui est également un terme mal approprié, parce que l'Indien d'Amerique du nord n'avait pas revendiquâe un droit pour débarquer, parce qu'ils avaient considéré la terre en tant qu'étant libres et sans frontières. Ils n'avaient pensé rien à suivre les grands troupeaux de buffle en tant que sud lointains, dans ce qui est maintenant le Montana et le Nouveau-Mexique. Rectifiez à leur héritage que les Indiens de plaines avaient été des nomades. Avec l'arrivée des Anglais et la fondation de la société de commerce de fourrure du compartiment du Hudson par vaste partie occidentale du Canada occidental tomberait par la suite sous la commande de HBC. Le bouleversement politique des temps et de l'incertitude qui accompagne l'instabilité politique ne décourage pas Jean-Jacquet de son chemin. Il reste un ouvrier déterminé du sol. Le commerce lucratif de fourrure, qui avait toujours été au premier rang, a eu la nouvelle source principale restée de Frances du revenu et d'une épine dans son côté. La nouvelle France avait eu besoin de la terre et des fermes pour fournir la stabilité pour une communauté grandissante mais elle avait également aimé l'argent facile que le commerce de fourrure avait fourni. Le commerce de fourrure n'avait jamais fait appel à Jean-Jacquet, il a eu a aimé la terre, elleavait été stable et il pourrait voir les fruits de son travail. Il était très réussi à son travail, et un notaire public, j'adhemar établit sa valeur dans un équilibrage des livres entre Joachim Germano et lui-même 2le ND septembre 1680. Lorsque Jean-Jacquet avait eu des ans de thirty-eight et avait été le propriétaire de six bovins et douze acres de valable débarquent. Car j'ai lu les passages écrits que j'avais essayé d'envisager Jean-Jacquet, à quoi avait-il ressemblé ? Était-il grand et mince avec un corps sportif, avait-il été dans le régiment de Carignan-Salieres, qui avait revendiqué ses membres en tant qu'étant grand et fort ? A-t-il fumé ou a-t-il mâché le tabac ? Étant la Belgique, et vivant dans cela ville très moderne et belle de rue Paul-De-Liège, je penserais que Jean-Jacquet était le plus probablement instruit. En fait, dans le livre "Histoire De Louiseville", on lui mentionne que Jean-Jacquet-Jacquet de Gerlaisse avait été de la 'bougeoisie , et légèrement est instruit... qui semble légèrement comme un compliment déloyal. Je me demande il ai connu Raddisson et Grosseilliers, les avait-il jamais vus ? Il le plus certainement avait su d'eux en raison de l'importance que leur faire un saut au camp britannique a eu, et par tous les aspects ils avaient été les individus très hauts de profil. Ainsi je m'assieds ici dans le confort de ma maison devant mon PC écrivant ceci tandis que l'ensemble de TV joue dans le fond. Mes carniches de deux jouets sont sur le divan, je pensent qu'ils dorment. J'essaye d'imaginer cet individu, j'essaye d'imaginer où il s'assied ? Il s'était assis au milieu de la destruction de tous ce que elle avait signifié pour fixer sous le drapeau français, et incapable d'arrêter ce qui s'était produit autour de lui et frustré à la pensée d'une capitulation certaine, a-t-elle dû frustrer ? Les petites batailles étaient allées sur tout autour lui. Louiseville n'est pas celui loin du règlement de Ville Marie. Ville Marie se développerait plus tard dans la ville de Montréal. Il y avait eu un autre soulèvement meurtrier de Iroquois en 1689 avec le massacre de Lachine. Je conjecture par la lecture de notre arbre de famille que nous sommes les descendants de l'ascendance humble, d'aucune noblesse et d'aucune aristocratie, et certainement d'aucune redevance. Nous sommes les produits d'un parentage aventureux,au moins je pensons ainsi. Nos ancêtres avaient été bravent assez pour rêver le rêve, et avaient été bravent assez pour accepter le changement que le rêve avait exigé d'elles. Pensez à lui ! Les colons avaient laissé un style de vie déjà établi, où on pourrait aller au magasin faisant le coin pour un pain de pain et s'était embarqué sur un voyage campant qui durerait le reste de leurs vies. Quand ils avaient choisi de venir en nouvelle France, la survie avait signifié faire tout, afin de survivre juste d'un jour au prochain, là n'avait pas été tous les luxes. Il est impossible d'imaginer ce qu'avait été il comme le dos puis. Je suis allé et Louiseville visité essayer d'obtenir un sentir pourl'endroit mais je n'avais pas pu en mesure. L'endroit ressemble à plusieurs des petites communautés d'exploitation agricole. Il est très joli et situé sur le fleuve de rue Laurent ainsi est réellement une ville pittoresque. J'avais visité l'église magnifique et le cimetière isolé et avais marché le long du fleuve, le même fleuve que Jean-Jacquet avait marché, j'ai vu sa terre et le même fleuve qui plus tard avaient réclamé les vies de deux de ses petite-filles, Catherine et Marie-Therese tellement il y a bien longtemps. J'ai essayé mais je ne pourrais pas le sentir ou le goûter, et toute l'immersion de cet environnement, de ce temps m'avait échappée. Elle avait seulement été plus tardive car j'avais écrit ceci hors de cela qu'ils étaient venu à la vie. Sur cette terre aujourd'hui est érigé une croix avec l'année 1665 jointe, montrant où la première chapelle avait été construite sur sa terre. Intéressant dans le livre 'Histoire de Louiseville', une carte montre que les placements des fermes et de lui a le nom de Jean-Jacquet's inscrit sur deux parcelles de terrain de terre. Un de ceux trace était à lui, celui où la chapelle avait été construite, alors quel'autre parcelle de terrain avait appartenu à son fils Jean-Francois. Son fils Antoine avait également cultivé, et sa terre avait été plus proche ses pères. Vivent les étés humides chauds étouffants où le sommeil vous élude la nuit en raison de la chaleur suffoquante. Éprouvez les hivers froids de congélation et l'air arctique froid qui fouette outre de la rue Laurent et coupe à travers vos vêtements plus chauds et fouette votre visage, apportant déchire à vos yeux, qui gèlent immédiatement. Et la nuit, à la maison, le seul endroit à maintenir chaud est sous les couvertures tandis que vous écoutez le vent d'hurlementdehors. Et quand vous vous asseyez et mangez pendant les mois d'hiver, vous rationnez votre nourriture, ou plus tard vous pouvez aller affamé. Juste avant que l'hiver ait placé dedans, ils chasseraient et emprisonneraient des lapins et lesnettoieraient et accrocheraient dans une chambre froide dehors, sûr de la vermine, à la marée ils plus de par l'hiver. Été, seulement nourriture fraîche parce qu'ils n'ont eu aucune réfrigération. Ampèreheure le lit chaud gentil, mais vous doivent se lever, n'importe ce que, est qui ce qui il a signifié quand vous avez travaillé la terre. Il a signifié se lever à la fente de l'aube et voir votre souffle car vous aviez lutté pourobtenir un feu allant réchauffer la maison. Jean-Jacquet a un cheval appelé 'Magie 'maintenant ainsi il doit sortir à la grange et l'alimenter. La grange est petite avec les plafonds bas et les stalles serrées. Elle a fait empiler la terre autour des murs externes et du toit pour l'isolation de l'hiver dur. Il fait chaud dedans là, et du souffle d'animaux il est humide. Ses bétail ont également pour être alimentés et arrosés, et il doit traire les vaches. Il doit nettoyer les stalles et fixer la nouvelle paille pour la literie pour ses animaux ; ces animaux sont ses lignes de sauvetage. Il finit ses corvées de matin et des têtes pour la maison, il n'a pas même mangé encore mais il sait que Jeanne prend un café et un petit déjeuner chauds l'attendant. C'est toujours obscurité car il sort la grange et il frotte ses mains soufflant ensemble l'air chaud au-dessus d'elles, puis il ferme la porte et les têtes de grange pour la maison. Ya a obtenu de l'aimer ! Toutes les choses que nous prenons pour accordé aujourd'hui comme l'aspirine et la pénicilline n'ont pas existé en jour de Jean-Jacquet's. Les colons sont souvent morts parce qu'ils avaient manqué du soin médical approprié et souvent très le jeune n'avait pas été assez fort pour combattre les ravages de la maladie. La variole, la diphtérie, la tuberculose, la rougeole, la varicelle de poulet, et les oreillons avaient été des maladies communes mais parfois elles avaient prouvé mortel. La déshydratation provoquée par dysentary a réclamé beaucoup d'enfants en bas âge, de même que coqueluche. Quelque chose aussi bénigne que l'appendicite était le plus souvent mortelle. L'hygiène dentaire n'avait pasété un grand souci et les dents putréfiées avaient été une chose commune et une partie de vie quotidienne. C'est quelque chose que je juste ai récemment appris, tout à fait par accident. Si vous regardez des photos des personnes de ce temps, aucune d'elles ne sourit. En conséquence, la maladie de l'homme blanc qui l'avait suivie au nouveau monde s'était écartée aux personnes des premières nations, et dans certains cas avait presque décimé certaines tribus. Les tribus avaient été petites, maintenupetit parce qu'il avait été plus facile d'alimenter un petit groupe. Ainsi dans certains secteurs, ces petits groupes avaient vécu dans la vue de l'un l'autre, pour la force contre l'attaque ; il y a force dans les nombres. Note : Tandis que l'histoire dévoile pour nos ancêtres Johann Sebastian Bach a eu 1685- vécu 1750. Pendant la colonisation le Français avait essayé de stimuler la croissance de la population en encourageant les familles nombreuses. La serre de Jean avait récompensé ceux qui avaient marié des jeunes et ceux qui ont eu les familles nombreuses. Les autres avaient été pénalisés, ceux qui étaient restés célibataires avaient été imposés. Le Comte Louis De Buade de Frontenac avait commencé son deuxième mandat en 1689, l'année du massacre de Lachine et le moment que l'Angleterre avait déclaré la guerre sur la France. Au Canada l'anglais avait énormément dépassé les Français et en 1690 quand les Anglais avaient approché Frontenac pour capituler, de sa bastion au Québec il avait répondu avec cette expression maintenant célèbre, "vous obtiendrez votre réponse par les bouches de mes canons". Bien, si non réaliste il avait semblé bon ? Jean-Jacquet-Jacquet de Gerlaisse avait été très réussi comme 'Habitant 'et sur 6le Th mai 1690 lui et sa belle épouse Jeanne identifient formellement que son père a accompli leur dot de mariage comme promis. Comprenez-vous l'implication de ce rapport ? Ce que ce le moyen est que n'importe comment divorcé ils avaient été comme colons du pays de parent de la France, ils avaient pris avec eux les valeurs et les traditions avec lesquelles ils avaient grandi. Je n'ai trouvéaucune mention ce qui avait été cette dot mais on peut imaginer que c'avait été aide financière, plus quelques animaux de ferme ? Il est vrai que les colons aient eu les familles très nombreuses, cela avait été encouragent par Talon et l'église. Si ceux épouse n'avait pas toujours été enceinte le prêtre de paroisse a-t-il eu a-t-il voulu savoir pourquoi ? Il est également vrai que tous les enfants aient aidé autour de la ferme. Ils avaient fait des corvées, ils ont alimenté les poulets et ont nettoyé la maison. Ils avaient fait la blanchisserie et ont mis la table, fait les aftrewards deplats et même fait les lits. Dimanche, après que la masse les enfants ait recueilli toutes les chaussures d'adultes et les ait polies avec le poli de chaussure. Les enfants plus âgés de la famille avaient pris soin du plus jeune. Pendantque les enfants vieillissaient le clergé s'était occupé d'instruire, et dans la plupart des exemples les nonnes avaient enseigné l'école. Les écoles de ce milieu rarement sont allées tout plus haut évaluent alors quatre pour la raison simple pour laquelle ce n'avait pas été nécessaire. En outre, l'éducation avait été pour les aristocrates. De beaucoup de manières la vie des colons n'avait pas été beaucoup différente d'aujourd'hui. Après des jours le travail est fait nous toute la prise notre pantalon outre d'une jambe à la fois. Nous souffrons les mêmes pertes aujourd'hui qu'il alors. Nous disons qu'il n'est jamais facile soutenir la mort d'un membre de famille mais quand cette mort est celle d'un enfant c'est la plus mauvaise mort. Des parents sont censés mourir d'abord. Quand nos enfants sont emportés souvent brutalement, il est enfer. Notre première famille avait perdu trois de leurs enfants précieux. Ils avaient perdu leur aîné ; une fille a appelé Catherine âgée dix. C'est au moment même où nous finissons par finalement les savoir, dix n'est pas vieux. L'enfantde Jeanne deuxièmes que un garçon a appelé Pierre avait seulement vécu pendant quatre mois. Elle avait toujours été nourrir le petit ange quand il était mort. Jean-Jacquet a eu baptised deux de ses filles Marie-Josephte ; d'abord eu vécu pendant moins puis un mois. Comment pourraient-ils avoir fait face à la perte de leurs enfants ? Comment une jeunes mère et épouse pourraient-elles distillateur parvenir à tenir la famille ensemble, à nettoyer la maison, à faire cuire les repas et à soulager les enfants, pour pleurer pour pleurer et pour demander pourquoi ? Elle devient évidente au lecteur que pour que les colons survivent avaient pris à un grand degré d'esprit de la communauté. Toutes les fois que quelqu'un a souffert une perte ou une maladie qu'elles toutes avaient rassemblée, parce que la famille attache avait été très étroite. Jeanne et Jean-Jacquet pleurent la perte de leur des bébés, ils les ont enterrés et avaient continué dessus la vie. Ils certainement ne l'ont pas eue facile, aucun des premiers colons n'a eu, mais elles ont fait leur meilleur. Et vous savez ce qui, nous sont la preuve vivante de leur succès. Quand j'avais commencé la première fois à écrire cette généalogie nos ancêtres avaient été les étrangers complets, seulement tant de noms sur un morceau de papier. Ils n'avaient pas été vivants, et je sais que cela ressemble à d'une chose impaire pour indiquer, mais maintenant je sens une parenté puisque je leur ai donné la vie, ainsi pour parler, et mon coeur sort à eux. Jean-Jacquet et Jeanne étaient parvenus à élever une famille affectueuse de dix beaux enfants dans moins puis la circonstance parfaite, et maintenant je réalise un raccordement. Maintenant je me rends compte que nous faisons partie de cette famille. Avec chaque déclaration de guerre par les nations souveraines, les répercussions avaient été senties au Canada. En 1713 par le Traité d'Utrecht, la France avait concédé Detroit, compartiment de Hudsons, Acadia et Terre-Neuve. Note : Dans 1756 avait été né ce qui irait bien au compositeur autrichien phénoménal de musique par le nom de Wolfgang Amadeus Mozart. Amadeus signifie l'aimé de Dieu, a aimé par God. Cet enfant Prodigy avait écrit sa première ouverture à l'âge de six. Il était mort le Th décembrede 5 1791 où il avait seulement 35 ans. Enfin avec la déportation des sujets français fidèles (Acadians) dans 1755 la cloche avait sonné, signalant un prélude à l'extrémité. La conquête du Canada, qui avait été enterrée sous la lutte du commerce de fourrure, avait finalement su sa conclusion. Quel Jean-Jacquet avait eu peur d'eu finalement produit après que le Québec ait été pris dans la bataille, il n'avait pas vu que naturellement, elle avait eu lieu après son temps. La nouvelle France était devenue britannique par le Traité de 1763. On avait permis à le Canada, qui avait été fondamentalement le Québec, de garder ses frontières, sa langue française, et sa liberté de culte, son système d'éducation et son code civil. à la signature de la Capitulation du Québec, qui avait eu lieu peu de temps après la bataille des plaines d'Abraham, ces concessions avaient été considérées généreuses par les deux côtés. Pour cette considération généreuse le Français avait prouvé fidèle quand les forces révolutionnaires britanniques des sud avaient capturé Montréal en 1755 et avaient essayé de prendre le Québec. La révolution Britannique-Américaine, qui avait commencé dans 1755 avait duré jusqu'en 1783. Comme apostille, établie près des plaines d'Abraham et de bâche sept acres peuvent être trouvées le couvent d'Ursaline fondé en 1639. Il est certainement parmi les établissements éducatifs les plus âgés pour des filles sur le continent. Dans sa chapelle il tient dans la vénération le crâne du Général tombé Montcalm. Germain Lesage, o.m.i. of the University of Ottawa, and from inputs by Michelle Desjarlais of Louiseville, avocate et rechersiste. |
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